On parle bien souvent de « cybercriminalité » de nous jours. Le terme est si souvent usité qu’il est entré facilement dans le langage courant. Mais malgré tout, une grande partie des particuliers comme des professionnels l’utilisent à tort et à travers. Et pourtant, pour être sûr de bien gérer la situation et ne pas en être victime, il est important de commencer par une définition claire de ce qu’est une cybercriminalité. Le point.

Une définition simple

En de terme simple, la cybercriminalité est une infraction criminelle en ligne. C’est notamment la nouvelle définition qu’on lui donne sur le marché. Et pour cause, il existe des lois qui luttent contre ce genre d’action qui ouvre droit à des peines et à des poursuites judiciaires. Il s’agit simplement d’une attaque en ligne via les virus et les malwares en tout genre, dont le but change en fonction des envies des acteurs et du genre de logiciel utilisé. Tantôt c’est simplement de la malveillance, visant à stopper les activités d’une entreprise, comme ce fut le cas en 2017. Tantôt c’est une véritable récolte d’information.
Ce n’est que depuis le boum du web que la société a dû vivre avec cette nouvelle forme de crime. Et même s’il ne s’agit pas d’une atteinte à l’intégrité physique, elle nécessite tout de même votre attention pleine et entière. Pour les professionnels en effet, elle peut minimiser les bénéfices que vous vous faites en un an. Et pour les particuliers, c’est une des causes des vols d’identité qui commence aussi à avoir le vent en poupe en ce moment.

Les différentes formes de cybercriminalité

On se trompe souvent sur ce qu’est une véritable attaque cybercriminelle. En effet, on garde en tête le piratage, et pourtant, ce n’est pas la seule option possible. Les acteurs sont de nos jours nombreux à avoir développé des malwares ou des logiciels malveillants visant à détruire les pares-feux des plateformes. Certains d’entre ces virus sont d’ailleurs à même de récolter toutes les informations contenues sur la plateforme en même temps qu’ils bloquent les systèmes de défense du portail. C’est la nouvelle technique de cybercriminalité utilisée par les acteurs actuellement pour le vol d’identité.